Source : business.lesechos.fr
Bien avant que la loi travail n'oblige les entreprises à instaurer un droit à la déconnexion, le laboratoire pharmaceutique s'est emparé du sujet. Les contours d'une charte, devenue accord collectif, avec sa directrice juridique, Béatrice Bihr.
Sans le savoir, Teva Santé a pris les devants. Alors que, depuis le 1er janvier, les entreprises de plus de 50 salariés sont obligées, en vertu de la loi travail, de garantir un « droit à la déconnexion » à leurs salariés, la mise en conformité n'a été qu'une pure formalité pour le laboratoire pharmaceutique... Lire la suite
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